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CHRONIQUE DU FESTIVAL
JAZZ POURPRE
EN PÉRIGORD 2021

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Cette année pour la première fois, le Festival Jazz Pourpre en Périgord a laissé passer le temps des cerises pour se vêtir de la pourpre de la vigne, qui fort heureusement lui va très bien au teint et même, pourrait-on dire, lui colle à la peau.
C’est un festival populaire, on y vient pour sortir, se rencontrer, se restaurer, côtoyer les musiciens à la buvette et aussi danser, en écoutant de la musique, mais pas n’importe laquelle, du jazz !

Située en plein cœur de la ville, la Place Gambetta se métamorphose le temps d’un week-end en « village » avec ses stands d’artisans d’art, ses restaurants, son bar à vin et sa « boîte de jazz », grand chapiteau dans lequel vont se succéder pendant plus de deux jours pas moins de 15 groupes totalisant 120 musiciens. 
Dès vendredi à 18 heures, alors que le festival s’ouvrait par le traditionnel apéro-jazz accompagné par la musique « dixie » du Quartet Big Four Sweet (Denis GIRAULT, clarinette - Stéphane BORDE, banjo - Nicolas DUBOUCHET, contrebasse - Nicolas BENETTI, trombone), il fut évident – par l’affluence du public et le nombre de bouteilles débouchées -  que ce que nous étions en train de fêter, c’était des retrouvailles, pour ne pas dire des relevailles, avec l’énergie toute neuve des bénévoles de l’association Jazz Pourpre, organisatrice du festival, et la bénédiction des élus locaux, départementaux et régionaux qui veillent sur la destinée de ce festival.

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Après le dîner-jazz, toujours animé par le Quartet Big Four Sweet – leur musique couvre sans peine les bruits de fourchette – le public fut accroché par les rythmes latins et les ondes festives du Sextet Radio Tremendo (Fabi et Fernanda, chant, trombone – Kamila, chant, piano – Galoche, basse – Caspar Douglas Hamilton, percussions – David Carbonnel, batterie). De nombreux convives en oublièrent même leurs assiettes pour se précipiter sur la piste de danse (cumbia, salsa, festejo).

Puis, le temps du changement de plateau et de quelques balances (nous tenons à saluer la maîtrise, qui n’exclut pas la bonne humeur, de notre ingénieur du son, Didier Vermaut de Art Phonic 24), et ce fut l’heure du traditionnel « after » avec le guitariste de blues, country et rock n’roll Chris Bakehouseman en quartet pour un époustouflant « Devil’s Drivers », qui, après les derniers riffs, rendit un peu difficile la fermeture de la buvette et de la Boîte de Jazz dans les temps réglementaires...

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